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 LUKA BALTHAZAR & never shall we die.

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AuteurMessage
Luka B. Widranges

Luka B. Widranges

MESSAGES : 44

LUKA BALTHAZAR & never shall we die. _
MessageSujet: LUKA BALTHAZAR & never shall we die.   LUKA BALTHAZAR & never shall we die. EmptyLun 2 Aoû - 6:27

TITRE
LUKA BALTHAZAR & never shall we die. 9
NOM ET PRÉNOM : WIDRANGES; Luka Balthazar.
AGE : 26 ans.
SEXE : Masculin.
GROUPE : Villageois ; Pirate en devenir.
STATUT SOCIAL : Ça dépend.
CITATION : « Il faut savoir ce que l'on veut. Quand on le sait, il faut avoir le courage de le dire ; quand on le dit, il faut avoir le courage de le faire. »
SITUATION : C'est compliqué.


HORS-JEU

PSEUDO : SAKURA
AGE : 18 YO
POURQUOI VOUS ÊTES VOUS INSCRIT SUR LE FORUM ? PARCE QU'IL GÈREUH.
CÉLÉBRITÉ : JAKE GYLLENHAAL


Dernière édition par Luka B. Widranges le Lun 2 Aoû - 6:52, édité 2 fois
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Luka B. Widranges

Luka B. Widranges

MESSAGES : 44

LUKA BALTHAZAR & never shall we die. _
MessageSujet: Re: LUKA BALTHAZAR & never shall we die.   LUKA BALTHAZAR & never shall we die. EmptyLun 2 Aoû - 6:27

HISTOIRE

NOVEMBRE, 1644 ;
« Bougez-vous de là ! Appelez une sage femme ! Mais faites quelque chose, ma femme est sur le point de donner naissance ! » Une drôle de panique s’empara du grand bateau, pourtant si petit dans la mer infinie sur lequel il naviguait. Il y avait de cela quelques mois, cette résidence de pirates flottante avait prit pour esclave de nombreux amérindiens, en vue de les vendre sur le marché d’esclave une fois rentré en Europe. Le voyage était long ; les pauvres familles captives se mouraient soit de faim, soit sous les nombreuses corvées que leur imposait les pirates sans pitié du navire. Le capitaine dans tout ça ? Il laissait faire cette piètre barbarie et s’amusait à regarder ses captifs se plaindre et mourir les uns après les autres. Ce fut une très mauvaise journée pour Moïra Acquaviva ; la pauvre, déjà enceinte de plusieurs mois lorsque les pirates débarquèrent dans leur village, était présentement en pleines contractions, le pauvre enfant ayant décidé de se pointer plusieurs semaines avant la date prévue de l’accouchement. Une tristesse hors du commun s’empara d’elle lorsqu’elle réalisa qu’elle était en train de mettre au monde son premier enfant sur un bateau pirate, consciente que ce pauvre enfant vivrait désormais et pour toujours dans la misère. Si seulement elle avait pu accoucher en Europe ; une bonne famille aurait peut-être accepté de la prendre pour esclave malgré le fait qu’elle était enceinte et l’aurait laissée accoucher dans de bonnes conditions, quitte à prendre son fils en esclave à son tour, mais dans un environnement adéquat, et non pas entouré d’êtres sans pitié et remplis que de cruauté pure. Une jeune amérindienne du village voisin, également tenu en otage, déclara avoir appris d’une sage femme comment aider une femme à mettre bas. Plusieurs heures passèrent avant que, dans la cale où les esclaves résidaient tous, on puisse entendre les cris d’un petit garçon : Luka Balthazar Widranges.

JANVIER, 1645 ;
« Alors, une fois pour le monsieur là-bas, deux fois, trois fois ! C’est vendu ! » Cette enchère était loin d’une enchère de bidules ou bien encore d’œuvres d’art. Des centaines de gens, vêtus en haillons, faisaient la file, chaînes au mains et aux pieds, attendant qu’on les vende à un prix médiocre à des aristocrates désireux de les avoir comme domestique ou bien encore de les faire travailler dans leurs champs dans des conditions de misère. À la minute près, Moïra Acquaviva venait d’être vendue à un riche monsieur, avec une fière allure, un air sympathique et une pipe à la main. Sa femme, qui s’accrochait à son bras sans ne dire mot, regardait avec des étincelles dans les yeux la nouvelle esclave que son bien-aimé venait de lui accorder. Cette noble était une des plus belles femmes en ville : partout on comparait ses magnifiques boucles blondes à du fil d’or, sa peau était aussi pure que la porcelaine et son regard, bleu comme la mer, semblait bienveillant et apaisant. Dès que l’amérindienne s’approcha de ses nouveau maîtres, elle lui caressa les cheveux en lui souriant doucement, lâchant son mari pour lui prendre la main et se présenter à elle, comme son égale. Un peu plus loin de là, Aubin Widranges regardait la scène avec un certain soulagement : il avait désormais la certitude que sa femme serait heureuse là où elle était : il saurait la retrouver avec le temps, mais d’ici là, elle s’épanouirait chez ses nouveaux maîtres. Un sourire s’accrocha à ses lèvres et il se mit à rêvasser. Malheureusement, un cri le ramena à l’ordre lorsqu’on lui rappela que c’était son tour et que s’il avait de la chance, quelqu’un aurait également pitié du bambin qu’il tenait désormais dans ses bras. Aubin baissa les yeux et regarda son fils, son unique fils. Devrait-il le perdre lui aussi ? Personne ne voudrait d’un bébé. Soupirant, le cœur lourd, il fit un pas en avant et monta sur l’estrade où, de haut, il vit tous les yeux de ces riches bourgeois, le contemplant comme s’il était un morceau de viande à juger. Oui bon, c’était un peu ce qu’il était. Plusieurs minutes passèrent, et la foule commença à poser des enchères… « Je le prend pour travailler dans mon champ, mais hors de question que je prenne le bébé ! Donnez moi seulement l’homme ! » Et la bagarre prit alors : on se disputait ses bras et sa force, mais Luka, lui, était bon pour les ordures. Soudainement, une voix grave et rauque s’éleva par-dessus le brouhaha. Il cogna fortement avec sa jambe de bois sur le sol et s’écria : « Je les prend les deux sur mon bateau ! Seulement, j’élèverai l’enfant comme s’il était mon fils et sa vie m’appartiendra jusqu’à ce qu’il rembourse la somme qu’il m’a coûté. » Pour la deuxième fois en l’espace de quelques minutes, le jeune père ressentit une nouvelle vague de soulagement. Travailler sur un bateau, certainement pour un pirate ? Très bien. Laissez la vie de son fils à ce soi-dit pirate ? Très bien aussi ; tant qu’il restait avec lui. Aubin remercia la Providence du plus profond de son âme, embrassa le front de son fils et alla rejoindre son nouveau maître, qui lui prit le bambin des bras. Il le regarda longuement, de ses yeux vitreux, puis emmena les deux hommes à l’écart, loin de la foule. Un sourire apparut sur le visage du Capitaine du bateau : « Monsieur, je vais faire de votre fils le meilleur moussaillon et le plus redoutable pirate que les sept mers n’auront jamais connues. »

MARS, 1655 ;
« Ohé! À l’abordage moussaillons ! Tous à vos postes ! » À travers les jambes des adultes qui brossaient le pont, un petit garçon, à l’aube de ses neufs ans, émergea de la cale, un œil bandé avec un vieux foulard du Capitaine Rousseau. Avec son épée en bois que son père lui avait confectionnée, il se mit à courir tel un aventurier en pleine course, lançant des ordres aux autres membres de l’équipage sur le bateau. Il n’y avait pas de quoi le nier : Aubin Widranges était terriblement fier de ce que son petit garçon était en train de devenir. Cela faisait maintenant dix ans que le Capitaine Rousseau les avait tous les deux achetés au marché d’esclave, prenant la garde de Luka pour l’élever et en faire son bras-droit, disait-il. Bien qu’il n’avait plus mot à dire dans son éducation désormais et qu’il ne pouvait point jouer son rôle de père, il était heureux de pouvoir constamment passer ses journées à ses cotés, le voir rire et s’amuser, et apprendre tous les rudiments d’un bon moussaillon. Chose certaine, son Luka allait devenir un homme, un vrai, et il saurait comment prendre sa vie en main et la diriger là où bon le semblait. De l’autre coté du bateau, l’infirme à la jambe de bois regardait son petit protégé avec amusement : ce gosse était de plus en plus attachant. Après réflexions, il voyait cet achat comme étant de plus en plus rentable. Le petit avait de l’avenir et le voir aller de la sorte ne faisait que confirmer sa certitude. Les autres membres de l’équipage avaient également commencés à s’attacher à Luka : partout où il allait, il était traité en égal. Sa candeur rafraichissait tout le bateau et il faisait bon de le voir s’amuser. Il y avait pas dire : les matelots du Capitaine Rousseau devenaient tous de vraies chochottes lorsque le petit Luka était dans le coin ! De quoi se marrer pendant des heures. « Hé petit ! Viens me voir ici ! » Reconnaissant la voix de son capitaine à travers les moussaillons qui parlaient en brossant le pont, Luka zigzagua jusqu’à lui pour finalement aller se tenir, la tête haute, l’épée en bois cachée dans son dos, prêt à écouter, comme si les mots qu’on allait lui adresser allait changer complètement sa vie. Malheureusement pour lui, ce ne fut pas le cas. À la place, le Capitaine lui lança un vieil objet rectangulaire dans les mains, pas plus gros que ses deux paumes collées, en métal, avec quelques écritures illisibles gravées dessus. « Mais qu’est-ce que c’est, Capitaine Rousseau ? » « J’en ai aucune idée mon petit, à toi de découvrir ce que ce à quoi ce bidule sert et dès que tu le sais, viens me faire un rapport, t’as compris ? » Un sourire s’étala complètement sur le visage du gamin. « Oui, mon Capitaine ! » Et le petit partit en courant vers la cale, curieux de découvrir de quoi en résultait ce machin, mais surtout, de remplir la tâche qu’on lui avait confié.

NOVEMBRE, 1670 ;
Une douce mélodie vibrait sur le pont du bateau du Capitaine Rousseau. Assis sur un vieux baril de rhum vide, Luka Balthazar Widranges tenait entre ses mains le drôle d’instrument que son mentor lui avait confié il y avait de cela bien des années. 16 ans, pour être juste. Étrangement, cet objet avait pris beaucoup de valeur aux yeux du jeune homme lorsqu’il avait découvert ce que c’était, et surtout, tout ce qu’il pouvait en faire. « Hé, Luka ! Tu veux bien nous jouer la chanson de l’autre soir ? » Le moussaillon adressa un signe de tête à son compagnon, plaçant à nouveau l’objet au bord de ses lèvres, prenant une respiration pour souffler à l’intérieur. À ce moment précis, une mélodie s’en échappa et les pirates du bateau commencèrent à chanter en cœur une chanson de boisson. Luka, qui avait désormais 26 ans, était pirate et musicien sur le bateau de celui qui l’avait adopté alors qu’il n’était qu’un bébé. Ce dernier l’avait élevé, sous les yeux attentifs de son vrai père. On lui avait appris tout ce qu’il y avait à savoir sur la navigation, sur les autres pirates qui arpentait les sept mers. On avait même fait de lui un des meilleurs hommes de la flotte dans le maniement du sabre. Avec beaucoup d’entraînement, Luka devint rapidement l’adversaire par excellence à défier pour un combat amical sur le bateau. Et lorsque les choses devenaient plus sérieuses, le jeune homme était le premier à prendre son sabre et à jeter par-dessus bord quiconque osait mettre les pieds sur son bateau. Il y avait quelques années, son père s’éteint suite à une grave maladie qu’ils n’avaient pu guérir, par faute de ne pas être arrivé à temps en ville pour trouver un médecin qui aurait pu l’aider à s’en sortir. Cette année avait été assez difficile pour Luka, mais il avait su se reprendre en se disant que son père serait beaucoup plus fier de le voir devenir un pirate accompli qu’une mauviette qui s’apitoie sur son sort. Ces pensées le rendaient nostalgiques, et il s’accorda une pause de quelques minutes lorsque sa chanson se termina pour faire le point pour la énième fois sur ce bon vieux passé. Malheureusement, un énorme choc contre la coque du bateau vint le tirer de ses pensées. Se levant brusquement, qu’ils venaient d’heurter un rocher quelconque, il réalisa bien rapidement que son équipage venait d’être accosté par d’autres corsaires et qu’ils étaient en train de se faire envahir. L’instinct prit rapidement le dessus des pensées de Luka et le pauvre tenta de se débrouiller tant bien que mal pour retenir ses adversaires. Partout autour de lui, c’était le véritable chaos. Ses compagnons tombaient les uns après les autres, le bateau commençait déjà à être pillé et il ne fournissait plus seul à tous les jeter par-dessus bord. Soudainement, son Capitaine s’approcha de lui de dos, se défendant lui aussi à l’épée comme il le pouvait. Entre deux coups de sabre, il s’adressa à Luka : « Enfuit toi, et vite. Ils sont trop concentrés sur la bataille : ils ne te remarqueront pas si tu te faufiles sur leur navire. Dès lors, cache toi dans la cale et prie pour qu’ils accostent bientôt dans la ville la plus proche. » Luka fronça immédiatement les sourcils, fou de rage : « Il n’en est pas question ! Je n’abandonnerai pas le - » « Fais ce que je te dis : c’est un ordre moussaillon. » N’ayant plus le choix, le jeune homme, non pas sans grincer des dents, en finit avec les adversaires qui le gênait et se faufila à travers la foule d’hommes qui se battaient. Avec ruse et agilité, il réussit à faire exactement ce que son capitaine lui avait ordonné.

NOVEMBRE, 1670 ;
Quelques semaines après le massacre qui entraîna tout son équipage au fond des mers, le navire dans lequel Luka s’était réfugié accosta enfin. En écoutant les matelots de cet équipage, il avait réussit ,à travers les longues semaines passées dans la cale, à savoir tout ce qui se passait sur le navire. De la sorte, il sut que quelques membres de son équipage étaient toujours vivants. Malheureusement, le Capitaine Rousseau avait trouvé la mort dans un affrontement au sabre contre le capitaine ennemi, qui n’avait eu aucune pitié pour lui. Maintes fois, il dût contenir sa rage face à cette nouvelle pour ne pas assassiner un ou deux moussaillons lorsque ces derniers passaient trop proches de sa cachette : un vieux trou de rangement dont personne ne se servait désormais à cause de son mauvais état, le tout, dissimulé par une vieille voile. L’arrivée en ville fut pour lui une véritable libération : plus jamais d’odeur de moisi, de maux de dos suite à un mauvais sommeil. Il ne lui resterait plus que les cauchemars suite aux événements des dernières semaines, mais son orgueil s’occuperait de lui faire passer cette épreuve. Depuis sa fuite sur son propre navire, Luka n’acceptait plus du tout la défaite. C’est pourquoi il se prit en main dès que ses deux pieds touchèrent terre : arrivant en ville, il se refit une toilette, s’acheta des provisions et un nouveau sabre et partit à la recherche d’un nouvel équipage. Sa seule motivation ? Venger son défunt Capitaine en trouvant celui qui avait osé lui donner le dernier coup de sabre.




Dernière édition par Luka B. Widranges le Mar 3 Aoû - 19:07, édité 5 fois
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Kristel A. Abzac

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Du rhum !
A SAVOIR SUR VOTRE PERSO':
DANS MES POCHES_____:

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MessageSujet: Re: LUKA BALTHAZAR & never shall we die.   LUKA BALTHAZAR & never shall we die. EmptyLun 2 Aoû - 7:49


    Mon Luka ! I love you Bienvenue !!
    Bonne continuation pour ta fiche Saku' :roi:
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Mermaid O. Lysaght

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MessageSujet: Re: LUKA BALTHAZAR & never shall we die.   LUKA BALTHAZAR & never shall we die. EmptyLun 2 Aoû - 11:16

Bieeeeeeeenvenue :monocycle:
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Eon Levasseur

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Du rhum !
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MessageSujet: Re: LUKA BALTHAZAR & never shall we die.   LUKA BALTHAZAR & never shall we die. EmptyLun 2 Aoû - 14:01

Bienvenue à toi !
Jake /BAVE/ ...
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Scarlett E. Valentino

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MessageSujet: Re: LUKA BALTHAZAR & never shall we die.   LUKA BALTHAZAR & never shall we die. EmptyLun 2 Aoû - 14:28

Bienvenue parmi nous *-*
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Luka B. Widranges

Luka B. Widranges

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MessageSujet: Re: LUKA BALTHAZAR & never shall we die.   LUKA BALTHAZAR & never shall we die. EmptyLun 2 Aoû - 18:25

    Merci vous tous (:
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Luka B. Widranges

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MessageSujet: Re: LUKA BALTHAZAR & never shall we die.   LUKA BALTHAZAR & never shall we die. EmptyMar 3 Aoû - 19:09

    Petit double post pour dire que j'ai terminé ma fiche.
    Je ne suis pas du tout fière de la fin, mais je me rattraperai en RP
    .
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Kristel A. Abzac

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MessageSujet: Re: LUKA BALTHAZAR & never shall we die.   LUKA BALTHAZAR & never shall we die. EmptyMar 3 Aoû - 19:25

J'ai pris un grand plaisir à lire ta fiche, vraiment ! :coeur:
J'aime beaucoup.
C'est avec un immense plaisir que je te valide !
Amuse toi bien sur le forum ::):
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Luka B. Widranges

Luka B. Widranges

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MessageSujet: Re: LUKA BALTHAZAR & never shall we die.   LUKA BALTHAZAR & never shall we die. EmptyMar 3 Aoû - 19:29

    YATTA !
    merci (aa)
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MessageSujet: Re: LUKA BALTHAZAR & never shall we die.   LUKA BALTHAZAR & never shall we die. Empty

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